Il était une fois, un matin comme les autres, où j’ai découvert que mon chat, Monsieur Moustache, avait plus de followers que moi sur Instagram. Alors que je maîtrise parfaitement l’art du filtre Valencia, que je sais quand publier pour atteindre mon pic d’engagement, voilà que ce boule de poils sans la moindre compétence en marketing digital me surpasse. Pourquoi ? Comment ? Voici quelques éléments de réflexion.
1. La Mignonnerie transcende
Regardons les faits en face : alors que je passe des heures à choisir la tenue parfaite, M. Moustache fait fondre les cœurs avec une simple boîte en carton. Le charme naturel du chat l’emporte.
2. Moins d’efforts, plus de succès
Alors que je peaufine ma légende pendant trente minutes, Moustache se contente d’un simple « Miaou #VieDeChat » et récolte mille likes.
3. Le mystère du chat
Chaque poste devient un casse-tête : « Que regarde-t-il avec tant d’intensité ? Pourquoi cette boîte en particulier ? Quelle est la philosophie profonde derrière ce bâillement ? » Les humains, eux, sont si… prévisibles.
4. Pas de drama
Alors que mon fil d’actualité est rempli de débats, de drames et de controverse, M. Moustache offre une pause sereine avec ses photos de sieste et ses vidéos de chasse aux points laser.
5. Les collaborations spontanées
Pendant que je démarche des marques pour des partenariats, Moustache reçoit des colis de jouets, de croquettes et même de lits luxueux. Tout cela parce qu’il a daigné regarder un oiseau d’une certaine façon.
Conclusion
Dans la course à la popularité sur Instagram, j’ai compris une chose : je suis peut-être plus éduquée, plus sophistiquée et capable de faire mes propres toasts à l’avocat, mais face à l’innocence désarmante et à la paresse captivante de M. Moustache, je ne fais pas le poids. Peut-être devrais-je simplement embaucher mon chat comme consultant en médias sociaux ?